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Courriers non identifiés
12 août 2004

suite...

Dans le paquet se trouvait, entre plusieurs journaux froissés, un sac en plastique transparent. Dans ce sac se trouvait un poignard avec un manche de bois gravé de mes initiales ,la lame était taché de sang. J’ai bien failli tournée de l’œil .Plus tard dans la soirée, après que je me sois à peu prés remise de mes émotions, j’allumée la télévision pour m’informer ,j e me doutait que quelque chose devait s’être passé .et je n’avait pas tord, un deuxième meurtre avait été commis ,un homme d’une trentaine d’années avait été poignardé chez lui ,assis dans son fauteuil. Un souffle d’angoisse m’envahit ,la police allait de nouveaux croire que j’était la meurtrière.

Anéantie , je m’assis sur une chaise, je me fis un café ,j’avais besoin d’un remontant. Et là je me mis à ressasser tout ces événements dans ma tête. Le poignard ,il portait mes initiales, mais ce n’était pas la seule chose qui m’intriguait, il me semblait l’avoir déjà vu, puis tout me revint , mon père, avait une collection d’armes à la maison dont il était très fier, et je me souvint du jour où il avait acheté ce poignard en mon honneur. Mais non, ce n’était pas possible mon père était loin d’être un psychopathe. C’est vrai que depuis que ma mère est malade il déprime mais delà à faire un meurtre. Peut être que dans sa détresse , il a voulu m’appeler au secoure , mais il y a quand même quelque chose qui clochait , mon père était avocat tout de même.

La meilleure chose à faire était encore d’aller le voir pour que je sois tout à fait sure de son innocence, c’était quand même malheureux voilà que je mettait à soupçonner mon propre père. Je finis par décrocher le téléphone et je composai le numéro de la maison familiale.

<< Allo?>>

<<Allo Papa c’est moi Leila…>>

<<Tu vas bien mon cœur ?>>

<<Oui Papa je vais bien enfin pas tout à fait, il faudrait que je te vois, je peux passer demain à la maison?>>

<< Mais bien sur tu vient quand tu veux, mais tu n’as pas l’air bien , qu’est ce qui se passes mon ange, tu as des problèmes?>>

<<Je t’en parlerais demain.. Maman va bien?>>

<<Oui, ce matin le docteur l’a vu il m’a dit qu’elle allait mieux. >>

Après avoir téléphonée à mon père ,je pris un somnifère et je m’effondrai sur mon lit.

Le lendemain matin, alors que j’était en train de m’habiller le téléphone sonna et une voix à l’autre bout du fil me dit:<<Leila restes chez toi aujourd’hui , ta vie est en danger, ce seras le premier et dernier avertissement.>>

Et l’homme raccrocha, cette voix ne m’était pas inconnue , mais une chose était sure ce n’était pas la voix de mon père. Cette situation devenait de plus en plus angoissante. Malgré les avertissement de la voix je pris le chemin de la maison paternelle.

Au bout d’un petit moment je me rendis compte qu’un bolide noir me suivait , j’accélérai mais ma petite R5 ne ferait jamais le poids contre cette grosse voiture. Tout à coup elle se mis à faire de dangereux écart ,puis dans un virage elle essaya de me doubler par la droite,puis donna un coup dans mon pare choc arrière enfin elle pris de la vitesse et partit en trombe. Quelqu’un avait voulu me faire peur ,je devrait me méfier à l’avenir.

J’arrivai sans encombre chez mes parents .

-Bonjour Papa! Maman est là? Elle va bien?

Malgré mes efforts pour cacher l’état de choc dans lequel je me trouvait mon père vit tout de suite qu’il y avait un problème.

Nous allâmes voir ma mère:

-Bonjour Maman!

-Bonjour qui êtes vous?

-Maman c’est moi Leila

Je me tournai vers mon père:

-Tu m’avais dit qu’elle allait mieux hier.

-Tu sais ma puce à ce stade de la maladie ça bouge tout les jours, on ne peux pas savoir de quoi demain seras fait.

Puis nous nous assîmes à la table du séjour pour discuter, et je lui racontait tout ce qui s ’était passé depuis le début .

Mon père me regarda dans les yeux et me dit:

-Je me souvient de ce poignards , je l’avais offert à Julien à l’époque où je pensais que c ’était sérieux entre vous deux.

Le soir je rentrai chez moi, mi-réconfortée, mi-inquiète. Sur la route, je revis la même voiture que le matin qui me suivait, mais cette fois elle ne se contenta pas de faire quelque cabriole, elle me poussait vers le ravin, je me vis dégringoler en bas du ravin, je vit des branche et des cailloux passer à toute vitesse devant mes yeux. Puis tout à coup ce fus le trou noir.

 

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  • Je suis un papillon qui déploie ses ailes pour la premiére fois,et je vous publie ici les pages de ma nouvelle,mais sans être vraiment sure que ce soit une réussite alors soyez indulgents...
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