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Courriers non identifiés
18 août 2004

suite...

Je rentrai chez moi et devant ma porte se trouvait le commissaire Girardo.

<<Il ne manquait plus que lui!>>

-Bonjour mlle Hanson !

-Bonjour Commissaire !Quel est le but de votre visite?

-Votre père nous à téléphoné et nous a un peu expliqué ce qui se passait en ce moment chez vous. C’est pourquoi nous aimerions vous poser quelques questions.

-Et bien entrez.

Je le fis asseoir et je nous préparai quelque chose à boire pendant qu’il commençait à me parler.

-La voiture qui vous a poussé dans ce fameux ravin comment était elle?

-Tout ce que je sais c’est que c’était une grosse voiture et qu’elle était noire. Le reste je ne m’y connaît pas du tout en matière de voiture alors je ne peux pas vous en dire plus désolée.

-Effectivement ça ne nous aide pas beaucoup votre père nous a dit la même chose. Et ce Julien votre ex vous en savez plus sur lui?

-Julien n’a rien avoir dans ces deux meurtres et puis si ça ne vous embête pas j’aimerais me reposer toute cette histoire me fout le cafard.

-Je comprend, mais nous allons vous posez une dernière petite question votre père nous a dit aussi que vous aviez quelque chose à nous montrer une preuve vous savait de quoi il s’agit?

-Oui, j’allais chercher le poignards dans son carton, voilà ce poignard a été déposé devant ma porte le jour du deuxième meurtre, mes initiales sont gravés dessus, c’est mon père qui a acheté ce poignards il y a longtemps déjà, et quand je sortait avec Julien il lui a offert, mais Julien a été embobiné par un type qui en échange d’une conséquente somme d’argent lui a acheté a une époque où il avait besoin d’argent.

Enfin le Commissaire partit, il était 17 heure et Julien arrivait dans deux heures il ne me restait plus beaucoup de temps pour préparé quelque chose à manger.

A 19 heure pas de Julien, 19h15 il n’ était toujours pas là , 19h30 je l’attendais encore. A 19h35 j’entendis enfin une voiture s’arrêter devant chez moi. Un homme en sorti, je me mis sur le porche, c’est là que je compris que ce n’était pas Julien. Cet homme était beaucoup plus grand que lui et il avait une carrure tout à fait différente, On aurait dit un rugbyman ou un déménageur il devait au moins faire deux mètre. Il s’avançait dans l’allée, et moi j’était là sans rien faire la peur me nouait l’estomac. L’homme avait un énorme bouquet de rose rouge sous le bras. Quand il arriva à ma hauteur, je me poussais dans l’encadrement de la porte et il passa, me donna les fleurs et me dit d’aller les mettre dans un vase, c’est ce que je fis. Alors il enleva son manteau et me le donna. C’est là qu’il se dirigea vers la cuisine et il dit:

-hum!ça sens bon, que nous a tu préparé de beau se soir ma chérie?

-euh…c’est un repas chinois.

De là il pris les plats que j ’avais mis dans le frigo et les posa sur la table, pris un chandelier et des bougies qui était sur le piano et les disposa sur la table, il prit son briquet et les alluma. Il me dit de m’asseoir et il me servit. Dans ma tête tout se bousculait mais une chose était claire ce type était le fameux psychopathe .

J’était un peu perturbée alors je lui ai posé des questions:

- Qui êtes vous? Que me voulais vous? Pourquoi êtes vous venu à la place de Julien?

Il ne réagissait à aucune de mes questions mais quand je lui ai posé la dernière il se leva et me dit:

-Manges! Arrêtes de parler!

Il se rassit et prit une fourchette. Puis tout à coup, il se le va et me dit:

-C’est pas croyable, tu es toujours la même, beaucoup trop bavarde, je t’entend même penser! Tais toi!

Il poussa la table vers moi, une bougie se renversa et mit feu à la nappe, je pris la cruche d’eau pour éteindre les flammes, elles s ’éteignirent. Soudain, il me pris le bras et m’envoya sur le divan, il s’approchait de moi, il commença d’abord à promener ses mains sur mon corps. J’essayait de me débattre mais rien à faire, il commençait à devenir paniquant, à coté de moi se trouvait la table basse, je saisie un plats en fer qui était posé dessus et de toute mes forces je lui tapais sur le crâne. Il était un peu sonné alors je pus me dégager. Je m’enfuis mais il repris vite ses esprits il se leva pris la table basse et la balança contre un mur puis il vint dans ma direction.

 

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  • Je suis un papillon qui déploie ses ailes pour la premiére fois,et je vous publie ici les pages de ma nouvelle,mais sans être vraiment sure que ce soit une réussite alors soyez indulgents...
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