suite...
Je rentrai chez moi et devant ma porte se trouvait le commissaire Girardo.
<<Il ne manquait plus que lui!>>
-Bonjour mlle Hanson !
-Bonjour Commissaire !Quel est le but de votre visite?
-Votre père nous à téléphoné et nous a un peu expliqué ce qui se passait en ce moment chez vous. Cest pourquoi nous aimerions vous poser quelques questions.
-Et bien entrez.
Je le fis asseoir et je nous préparai quelque chose à boire pendant quil commençait à me parler.
-La voiture qui vous a poussé dans ce fameux ravin comment était elle?
-Tout ce que je sais cest que cétait une grosse voiture et quelle était noire. Le reste je ne my connaît pas du tout en matière de voiture alors je ne peux pas vous en dire plus désolée.
-Effectivement ça ne nous aide pas beaucoup votre père nous a dit la même chose. Et ce Julien votre ex vous en savez plus sur lui?
-Julien na rien avoir dans ces deux meurtres et puis si ça ne vous embête pas jaimerais me reposer toute cette histoire me fout le cafard.
-Je comprend, mais nous allons vous posez une dernière petite question votre père nous a dit aussi que vous aviez quelque chose à nous montrer une preuve vous savait de quoi il sagit?
-Oui, jallais chercher le poignards dans son carton, voilà ce poignard a été déposé devant ma porte le jour du deuxième meurtre, mes initiales sont gravés dessus, cest mon père qui a acheté ce poignards il y a longtemps déjà, et quand je sortait avec Julien il lui a offert, mais Julien a été embobiné par un type qui en échange dune conséquente somme dargent lui a acheté a une époque où il avait besoin dargent.
Enfin le Commissaire partit, il était 17 heure et Julien arrivait dans deux heures il ne me restait plus beaucoup de temps pour préparé quelque chose à manger.
A 19 heure pas de Julien, 19h15 il n était toujours pas là , 19h30 je lattendais encore. A 19h35 jentendis enfin une voiture sarrêter devant chez moi. Un homme en sorti, je me mis sur le porche, cest là que je compris que ce nétait pas Julien. Cet homme était beaucoup plus grand que lui et il avait une carrure tout à fait différente, On aurait dit un rugbyman ou un déménageur il devait au moins faire deux mètre. Il savançait dans lallée, et moi jétait là sans rien faire la peur me nouait lestomac. Lhomme avait un énorme bouquet de rose rouge sous le bras. Quand il arriva à ma hauteur, je me poussais dans lencadrement de la porte et il passa, me donna les fleurs et me dit daller les mettre dans un vase, cest ce que je fis. Alors il enleva son manteau et me le donna. Cest là quil se dirigea vers la cuisine et il dit:
-hum!ça sens bon, que nous a tu préparé de beau se soir ma chérie?
-euh cest un repas chinois.
De là il pris les plats que j avais mis dans le frigo et les posa sur la table, pris un chandelier et des bougies qui était sur le piano et les disposa sur la table, il prit son briquet et les alluma. Il me dit de masseoir et il me servit. Dans ma tête tout se bousculait mais une chose était claire ce type était le fameux psychopathe .
Jétait un peu perturbée alors je lui ai posé des questions:
- Qui êtes vous? Que me voulais vous? Pourquoi êtes vous venu à la place de Julien?
Il ne réagissait à aucune de mes questions mais quand je lui ai posé la dernière il se leva et me dit:
-Manges! Arrêtes de parler!
Il se rassit et prit une fourchette. Puis tout à coup, il se le va et me dit:
-Cest pas croyable, tu es toujours la même, beaucoup trop bavarde, je tentend même penser! Tais toi!
Il poussa la table vers moi, une bougie se renversa et mit feu à la nappe, je pris la cruche deau pour éteindre les flammes, elles s éteignirent. Soudain, il me pris le bras et menvoya sur le divan, il sapprochait de moi, il commença dabord à promener ses mains sur mon corps. Jessayait de me débattre mais rien à faire, il commençait à devenir paniquant, à coté de moi se trouvait la table basse, je saisie un plats en fer qui était posé dessus et de toute mes forces je lui tapais sur le crâne. Il était un peu sonné alors je pus me dégager. Je menfuis mais il repris vite ses esprits il se leva pris la table basse et la balança contre un mur puis il vint dans ma direction.