suite...
-Où suis-je?
-Tu es à lhôpital ma chérie, me disait une voix familière, une voix sur laquelle je narrivait pas a mettre un visage. Tout était brouillé devant mes yeux, puis soudain tout me revint, le meurtrier, le poignards, Julien
-Julien?
-Ben qui a til , tu a lair surprise de me voir, cest pas parce quon a rompus, que je nai plus le droit de venir te voir à lhôpital, tu sais que tu peux compter sur moi.
Il était là, assis sur le seul fauteuil qui occupait la pièce, il avait un drôle de sourire aux lèvres et puis son attitude était bizarre comme si il avait envie de se faire pardonner quelque chose.
-Il faut que je sorte dici, appelez mon père, il faut que je sorte dici!
-Leila, il faut que tu te repose tu nas pas encore assez de force pour te lever
Je nentendais plus rien, tout à coup, une douleur me surpris, je fus prise de maux de tête terrible et je retombais sur le lit blanc de lhôpital.
Cette fois ce fus mon père que je vis en me réveillant, il se précipita sur moi dés que jouvris un il.
-Enfin tu te réveille, ma pauvre chérie.
-Papa, que mest il arrivée au juste?
-Tu as déviée de la route, la chaussée était glissante, à cause du verglas, heureusement tu nest pas tombée au fond du ravin tu as était retenue par un bosquet darbre, tu as eue de la chance quun paysan du coin passe par là sinon tu aurais pu y passer la nuit. Mais ne tinquiète pas ma puce, le docteur a dit que si tout allez bien tu pourrais quitter la chambre demain soir.
-Papa, papa écoute moi, ce nétait pas un accident mais on a bel et bien essayer de me tuer,cest une voiture qui ma poussé dans ce ravin.
-Quest ce que tu dit mon ange? Une voiture, il faudra que tu dise ça à la police, tu comprend cest très important parce que cela veux dire quOn ten veux à toi alors tu ny es pour rien dans ces deux meurtre, demain On iras les voir et tu leur donnera le poignards et toute les information que tu as sur lidentitée du meurtrier.
-Papa, il encore autre chose, la première fois que je me suis réveillée, cétait Julien qui se trouvait à ta place. Dailleurs, il avait un drôle dair, comme si il avait besoin de se faire pardonner quelque chose.
Cétait le mardi quatorze Décembre, le jour où je suis enfin sortie de ce maudit hôpital. Je pris la route du fameux marché de noël très réputé en Alsace, javait envie de me changer les idées, et comme cétait bientôt noël il fallait que jachète des petit cadeaux pour mes amis et ma famille. Alors que je marchait devant les étalages colorés, japerçue Julien de loin, je voulue faire demi-tour mais il mavait vu et il venait dans ma direction.
-Leila! Attends, il faut que je te parle!me cria til.
-Cela tombe parfaitement car moi aussi jai deux mots à te dire.
-Vient je vais te payer un café, il faut que je te parle, cest urgent.
Je le suivie. Nous étions là assis tout les deux et il commence à me dire les chose dun trait comme si il avait commis une faute impardonnable:
-tu te souvient , le jour où On sest quittés, je nallais vraiment pas bien à cette époque et cest comme ça que jai recommencé à jouer, de fil en aiguille, jai perdu de plus en plus dargent, et mes dettes se sont alourdies. Alors cest là quOn commencé les problèmes, des menaces, des attaques, enfin bref il fallait que je trouve de largent au plus vite. Cest là que jai rencontré ce type, qui moffrait une somme dargent conséquente si je faisait des trucs pour lui, jétait bien obligé daccepter sinon jétait mort. Alors il ma demander de téléphoner à un numéro pour dire des menaces , je me suis dit que ce nétait pas si grave que ça, jusquau jour où il ma demandé de faire peur à quelquun en voiture puis carrément de le balancer dans un ravin je ne voulait pas accepter mais il fit pression sur moi et puis il moffrait le double dargent alors jai fini par le faire. Au début , je navais pas compris que cétait de toi quil sagissait , cest quand jai vu ta voiture dégringoler que jai compris, alors je me suis fait passer pour un paysan et jai appelé une ambulance. Je sais que jamais tu ne me pardonnera mais il fallait que je te dise la vérité. Mais, tu peux mexpliquer pourquoi ce type ten veux ?
-Mon petit Julien tu tes mis dans une sacrée merde, et je lui racontai toute lhistoire, les meurtres, les preuves ,le poignards En fait si tu me disait qui est ce type , ça mavancerais.
Ensuite nous décidâmes de mettre un plan en place pour coincer ce psycopathe . Cest pour ça que le soir même je linvitai à manger chez moi pour en discuter.